Comprendre les visas pour travailler à Bali en 2025
Les options de visa les plus utilisées en octobre 2025
Travailler à Bali ne s’improvise pas, surtout en matière de formalités. L’Indonésie a mis à jour en 2025 ses règles pour accueillir les travailleurs étrangers. Que vous envisagiez une pause professionnelle ou le lancement d’une startup, vous devez choisir le bon visa.
| Visa | Durée | Coût estimé | Profil recommandé | Possibilité de prolongation |
|---|---|---|---|---|
| Visa on Arrival (VOA) | 30 jours + 30 jours max d’extension | 35 USD / ~500,000 IDR | Nomades digitaux en court séjour | Oui, une fois |
| eVOA (visa électronique) | 30 jours (+ extension possible) | Identique au VOA | Voyageurs pressés, freelances nomades | Oui, en ligne directement |
| Visa digital nomad (D212) | 60 jours renouvelables jusqu’à 180 jours | Varie selon sponsor (~150-250 USD) | Travailleurs indépendants à distance | Oui, multiples renouvellements |
| Visa travail (KITAS Sponsorship) | 6 à 12 mois renouvelables | >600 USD + sponsoring entreprise local obligatoire | Salariés ou entrepreneurs avec entité établie | Oui, via entreprise ou société locale |
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Le bon choix dépend entièrement de votre activité : un freelance en transit n’a pas besoin de la même autorisation qu’un entrepreneur installant sa société sur place.
Pour approfondir, lisez le guide complet publié par Indoned.id en 2025, qui détaille précisément comment obtenir un visa légal adapté à vos activités professionnelles. Les démarches ont été simplifiées depuis mars grâce à leur portail numérique eVOA.
L’eVOA : Le nouveau sésame numérique
L’eVOA est devenu l’option favorite des travailleurs indépendants grâce à sa procédure entièrement dématérialisée. En moins de 48 heures, vous pouvez recevoir votre autorisation d’entrée sans quitter votre canapé.
C’est pratique après une longue semaine dans les cafés de Canggu où vos seules décisions critiques sont : « matcha glacé ou flat white ? » et « surf ce matin ou coworking ? »
Les meilleurs endroits pour travailler efficacement à Bali en tant que digital nomad
Canggu : Le QG des nomades connectés
Prenez votre ordinateur, un power bank bien chargé et trouvez votre havre de productivité. Les cafés design pullulent ici mais ils ne se valent pas tous. Deux noms reviennent régulièrement dans les guides sérieux :
- The Farm Hostel : très apprécié pour son ambiance communautaire et ses bureaux ombragés sous les cocotiers. Le Wi-Fi est rapide même quand il pleut (exploit technique sur l’île).
- TRIBAL Bali : un espace mi-café mi-co-working pensé pour ceux qui travaillent autant qu’ils méditent. Son slogan : « Work Hard, Nap Harder ». Tout est dit.
Bali est loin d’être un simple spot paradisiaque. Les infrastructures ont évolué rapidement depuis la pandémie. On y trouve désormais des espaces hybrides avec zone de concentration, yoga room et mess végétalien intégré.
Ubud : Quand sérénité rime avec productivité créative
A Ubud, l’ambiance change : finies les plages bondées, place au silence des rizières et au chant des oiseaux à l’aube. Idéal pour les rédacteurs concentrés ou développeurs codeurs nocturnes. Les prix y sont d’ailleurs un peu plus abordables qu’à Canggu.
C’est aussi ici que le mouvement écoresponsable est le plus actif. Vous y trouverez facilement des hébergements construits avec des matériaux recyclés ou offrant des ateliers zéro déchet.
le couchsurfing moderne pour globe-trotteurs conscients.
S’intégrer culturellement : les codes (in)visibles du quotidien balinais
Savoir quoi éviter dès les premiers jours sur place
- N’entrez jamais dans un temple sans sarong : tenue exigée même par-dessus un jeans ou une robe longue.
- Toujours utiliser la main droite pour donner quelque chose : la gauche est associée à l’impureté dans la culture hindouiste locale.
- N’effleurez jamais la tête d’un enfant : geste vu comme irrespectueux (même si c’est un bébé rieur trop mignon).
Bali vous accueille avec le sourire… tant que vous respectez ses traditions millénaires.
pourquoi visiter Bangkok en immersion locale dès cette année.
Sécurité et santé : voyager tranquille en travaillant sur une île exotique
Assurance voyage : non négociable pour les travailleurs résidents temporaires
L’assurance santé internationale est obligatoire depuis début juin pour tout séjour supérieur à deux semaines incluant travail à distance déclaratif ou visa commercial.
Même pour une grippe légère sous climat équatorial humide (elle frappe vite), les soins peuvent coûter cher hors assurance.
Comparez les assurances voyage les plus fiables en 2025
Manger sainement sans ruiner son portefeuille ni son estomac
Bali regorge de warungs locaux proposant plats végétariens frais entre **1 et 2 euros**, souvent bien plus digestes que certains snacks importés…
- Nasi Campur : assiette mixte locale nourrissante disponible dans presque chaque village.
- Smoothie bowl aux fruits tropicaux : instagrammable mais surtout revitalisant post-repas sportif.
- A éviter ? L’eau du robinet : toujours préférer l’eau filtrée même dans vos boissons chaudes.
Bali nourrit aussi bien le corps que l’âme…
Données économiques utiles pour préparer son installation professionnelle à Bali (2025)
Dépenses journalières moyennes : logement + transport + repas + loisirs urban-nomade inclus*
| Catégorie | Détail journalier moyen (IDR) | Détail approximatif (USD) | Description utile terrain* |
|---|---|---|---|
| Logement privé climatisé (Canggu) | 250 000 IDR | $17 env. | Bungalow indépendant ou chambre calme proche mer & coworking spot local trendy. |
| Scooter location/jour + essence basique + assurance minimale locale incluse* | 70 000 IDR ~110 000 IDR totalisé/jour tout compris garanties minimes* | $4–6 env. | Scooter automatique basique Yamaha Mio/Honda Vario garanti road-ready. |
| Nourriture locale / légère saine / boissons comprises* | 40 000 –70 000 IDR/jour repas équilibré complet* | $3–5 env. | Trois Warung meals + fruit shake inclus = journée détox garantie après journée devant écran !* |
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*Données issues des guides Homson Travels/Bali.com croisés octobre actualisé
Travailler à Bali : guide complet pour réussir votre expérience.
Lien externe expert bonus : tendances et communautés locales connectées en octobre-novembre redynamisées post-Covid 🌍 [mise jour]
Prenez contact avec la communauté francophone installée à Bali via ce site spécialisé sur la vie d’expatrié balinais.
NomadList place Bali dans le top mondial des destinations nomades & slow working lifestyle !
L’essentiel avant votre départ vers Bali pour y travailler… et vivre pleinement !
- Passez au crible vos besoins administratifs selon vos objectifs professionnels (salarié/entrepreneur/nomade ?).
- Pensez équipement : VPN fiable comme StarVPN premium / batterie externe longue durée / assurance santé internationale dédiée démo-nomade tropicalisé(e) !
- Cultivez l’ouverture d’esprit balinaise : apprenez quelques mots locaux (Terima kasih = merci) et souriez souvent… ça ouvre toutes les portes.
N’hésitez pas à également consulter notre sélection de destinations complémentaires comme la Thaïlande :
Pourquoi la Thaïlande reste une valeur sûre pour les digital nomads
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Questions fréquentes
Combien coûte la vie à Bali pour un travailleur français en 2025 ?
Le coût de la vie à Bali reste abordable pour un Français, même en 2025. En moyenne, prévois entre 1 000 et 1 500 € par mois pour un mode de vie confortable. Ce budget inclut le logement (villa ou appartement), la nourriture, les transports, l’assurance santé et quelques loisirs. Si tu vis simplement, tu peux t’en sortir avec moins de 1 000 €. En revanche, si tu veux un logement avec piscine, manger souvent à l’extérieur ou voyager dans l’archipel, compte plutôt 1 800 à 2 000 €. Les prix varient selon la zone : Canggu et Ubud sont plus chers que d’autres régions moins touristiques.
Peut-on travailler à Bali avec un visa touriste ?
Non, c’est interdit. Le visa touriste (VOA ou B211A) ne permet pas de travailler, même à distance. Travailler en ligne depuis Bali avec ce type de visa est considéré comme une infraction. Tu risques une amende, une expulsion, voire une interdiction de territoire. Pour être en règle, il te faut un visa adapté à ton activité. Le plus courant pour les freelances est le visa E33G, conçu pour les télétravailleurs étrangers. Si tu travailles pour une entreprise locale, tu dois obtenir un KITAS sponsorisé. Ne prends pas ce point à la légère : l’immigration indonésienne est stricte.
Combien de temps faut-il pour obtenir un visa E33G ?
En général, il faut compter 2 à 4 semaines. Le délai dépend de la complétude de ton dossier et du prestataire que tu choisis. Tu dois fournir une preuve d’emploi à l’étranger, des revenus suffisants (souvent autour de 2 000 $/mois), une assurance santé internationale et un passeport valide. Certaines agences locales peuvent accélérer le processus, mais à un coût plus élevé. Une fois le visa validé, tu peux rester jusqu’à 1 an, renouvelable. Anticipe bien : commence les démarches au moins un mois avant ton départ pour éviter les mauvaises surprises.
Faut-il parler indonésien pour travailler à Bali ?
Pas forcément. Si tu travailles à distance pour des clients étrangers, l’anglais suffit largement. À Bali, beaucoup de locaux parlent anglais, surtout dans les zones touristiques comme Canggu, Seminyak ou Ubud. En revanche, si tu travailles pour une entreprise locale ou que tu montes un business sur place, apprendre quelques bases d’indonésien est un vrai plus. Cela montre ton respect pour la culture et facilite les démarches administratives. Des applis comme Duolingo ou des cours sur place peuvent t’aider à progresser rapidement.
Quels sont les pièges à éviter quand on s’installe à Bali ?
Le premier piège, c’est de venir avec un visa inadapté. Travailler avec un visa touriste est risqué. Autre erreur fréquente : sous-estimer les démarches administratives. Les règles changent souvent, et les délais peuvent être longs. Méfie-toi aussi des arnaques immobilières : ne verse jamais d’argent sans contrat clair. Enfin, attention à la fiscalité. Si tu restes plus de 183 jours, tu peux devenir résident fiscal indonésien. Renseigne-toi bien avant de t’installer. Le mieux : passer par des agences spécialisées ou échanger avec des expatriés déjà sur place.
Conclusion
Travailler à Bali en 2025 est tout à fait possible, à condition d’être bien préparé. Le visa E33G facilite la vie des freelances, tandis que le KITAS ouvre la voie aux salariés locaux. Le cadre est idéal : coût de la vie raisonnable, communauté dynamique, et qualité de vie au top. Mais attention aux règles : visa, assurance, fiscalité… tout doit être carré.
Tu peux bosser depuis Bali en toute légalité, sans stress. Il suffit de choisir le bon visa, de respecter les conditions et d’anticiper les démarches. Avec un peu d’organisation, tu peux vivre et travailler dans un cadre de rêve.
Commence par définir ton statut : freelance ou salarié. Ensuite, renseigne-toi sur le visa adapté et prépare ton dossier. Tu peux aussi rejoindre des groupes d’expats pour poser tes questions. C’est le moment de passer à l’action.





